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La chute du président Leslie François Manigat fut la première  manifestation des conséquences du caractère ambigu des articles de la Constitution relatifs au commandement de la force militaire d`Haïti. Sur ce point allait surgir un conflit d`autorité entre le président de la République, ″chef nominal des Forces Armées‶, selon la lettre de la Constitution, et le commandement en chef de l`Armée,‶chef effectif des Forces Armées″, selon les prescriptions de cette même Constitution. Alors, en sa qualité de ″chef effectif des Forces Armées‶, le général Henry Namphy avait opéré des transferts d`officiers  au sein de l`institution militaire sans avoir, bien avant, sollicité et obtenu le feu vert du chef de l`État. Le président Leslie Manigat, informé de la mesure par un des officiers transférés, s`indigna et ordonna sur le champ d`annuler les transferts effectués, arguant qu`il n`avait pas donné son aval à ces décisions. Ce faisant, le président commettait une grave erreur au point de vue du l

En 1991, un évènement tout-à -fait imprévu et sans précédant bouleversait  Port-au-Prince et le pays tout entier. Au cours de la nuit précédente , il y eut une prise de pouvoir par coup d`État, après la victoire aux urnes du candidat Jean-Bertrand Aristide, élu président  de la République d`Haïti aux élections de l`année 1990. Avant l`installation de ce dernier dans ses fonctions, prévue au 7 février 1991, le Dr. Roger Lafontant avait réussi à  pénétrer le Palais National au cours de la nuit et s`était déclaré chef de l`État dans une proclamation au peuple haïtien, diffusée en direct sur les écrans de la Télévision Nationale d`Haïti à partir du bureau présidentiel. Mais, que s`était-il passé ? Le Dr. Roger Lafontant fut l`un des candidats aux élections qui venaient de se tenir dans le pays. Mais sa candidature avait été  rejetée par le conseil Électoral  Provisoire. Par sa popularité, il était l`adversaire le plus sérieux  face au candidat charismatique du secteur dit démocratique que

   ‹‹ Je ne laisserai  pas mon peuple souffrir davantage de cette tragédie. Je choisis la paix›› , Emile Jonassaint. L'invasion militaire du territoire haïtien revêtait donc un caractère imminent. Le président des États-Unis de l'époque, Bill Clinton, le 15 septembre 1994, au cours d'une conférence de presse, annonça : ‹‹ Les militaires putschistes doivent partir maintenat, sinon,  nous nous verrons dans l'obligatoire de débarquer .›› Le militaire maîtrise bien le sens de ce message. Tout débarquement  hostile implique des feux de préparation et de couverture. Aussi l'avertissement du président Clinton fut-il reçu par le commandant chef des Forces Armées d'Haïti le général Raul Cédras. Ce dernier sollicita l'envoi en Haïti, pour discuter, d'une délégation constitute de grandes personnalités de la politique américaine... Bill Clinton, toujours désireux d'éviter l'unsage d'une force, décida de donner une dernière chance à la paix en acceptant q

 La fierté d'être citoyen haïtien, vivant, en Haïti ou ailleurs n'est pas trop apprécié par l`être haïtien à l'heure actuelle, par ce que le pays va mal. Beaucoup citoyens haïtiens ont un profond regret de fait qu'ils possèdent cette nationalité. Connaissez-vous peut-être aucune personne ne peut choisir préalablement sa nationalité c'est-à-dire avant qu'elle est venue au monde, cela soit pas possible tout autant la personne n'a encore vue le jour dans le monde de vivant. Bref, pourvu que les dirigeants de la République d'Haïti font la grimacerie, avec un si beau pays, pas trop grand, un exceptionnel pour ces terres arables et qui peut cultiver tous sortes de choses en ce qui concerne l'agriculture. Mais plus tôt, ils planifient dans leurs agenda comment pier un peuple, en connivance avec des puissances étrangères. Ensemble de ces choses font que, une bonne partie de la population haïtienne fuit le pays chaque année pour chercher une meilleure façon d

 U n jour comme celui-ci, en 1758, le libérateur des esclaves de Saint-Domingue Jean Jacques Dessalines était né, sur l`habitation Cornier situé dans à la Grande-Rivière du Nord, à la partie occidentale de l`île Hispaniola. Né dans l`esclavage, il a travaillé très dure pendant un certain temps dans les champs aux côtés de ces  frères et sœurs  esclaves sous le joug de la servitude de la France, qui occupait la partie Ouest de l`Île depuis 1625. Par ailleurs, comportement de Dessalines était toujours différent des autres esclaves, il y avait l`esprit de révolte. En effet, on lui avait souvent punie très sévère  comme quoi le fouettait par ce qu`il était si rebelle en vers ses maîtres. Vers les années 1791, Jean Jacques Dessalines fut intégré dans l`armée, dirigée par le général Toussaint Louverture. Sans perdre de temps, pour sa bravoure, Toussaint le général en chef lui avait gradé et le nommait commandant des brigades. Après plusieurs résistances farouches de l`Armée Coloniale face à